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Environnement technique

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Norme internationale 220V-240V/50Hz-60Hz
Standard USA/Canada 120 V/60 Hz, 277 V/60 Hz
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Nous vous présentons nos contenus en langue française. Les données sur les produits correspondent à un environnement technique de 220V-240V/50Hz-60Hz.

Entretien sur les études déclairage avec des LED
Work

Les études d’éclairage et les LED

La transformation de l’hôtel de ville de Schorndorf, près de Stuttgart, se termine. Ce projet bénéficie de l’éclairage LED d’ERCO. En septembre 2012, nous avons rencontré l’architecte Gunter Fleitz ­(Ippolito Fleitz Group) et le concepteur lumière Stefan Hofmann (Lichtwerke) pour discuter de cette expérience et leur demander leur avis sur l’éclairage LED.

Martin Krautter :
Gunter Fleitz, pour commencer, parlez-nous un peu de l’hôtel de ville de Schorndorf !

Gunter Fleitz :
Le bâtiment se dresse sur la place du marché, au cœur de la vieille ville, c’est l'âme de la ville. Construit vers 1730, il est aujourd’hui classé monument historique. Les fenêtres cin-trées au rez-de-chaussée en sont une caractéristique. Il s’agissait autrefois d’une halle ouverte où se tenait le marché, puis les arcades ont été fermées. Le foyer qui en a résulté est utilisé pour différentes finalités, par exemple comme syndicat d’initiative ou pour des manifestations. Deux salles polyvalentes sont également disponibles. La grande salle du conseil accueille aussi des réunions et des séminaires. La salle des célébrations, comme incrustée, vient s’y ajouter et sert simultanément au conseil municipal.

Martin Krautter :
Dans quel état avez-vous trouvé l’hôtel de ville ?

Gunter Fleitz :
Au début du projet, en 2007, un assainissement de l’édifice devenait urgent, la protection anti-incendie et tout l’équipement technique laissaient à désirer. En parallèle, le jeune maire souhaitait donner à l’hôtel de ville et ainsi à la ville un nouveau visage. En 2008, il a fallu suspendre le projet à cause de la crise économique, jusqu’à ce que les fonds nécessaires puissent être réunis pour financer l’assainissement énergétique. Les derniers travaux de transformation, réalisés dans les années 80, avaient laissé de nombreux aménagements en bois sombre et un sol couleur terre cuite. Nous voulions supprimer tout cela et dégager la façade, créer la transparence en montrant l’intérieur à l’extérieur. La salle des cérémonies est aujourd’hui un bloc de verre suspendu au cœur du bâtiment. Le foyer et la salle se fondent en un même espace grâce aux parois vitrées. Seuls des filtres, notamment des rideaux et un maillage serigraphié sur le verre, signalent leur séparation. Le plafond acoustique, courbé aux bords et marqué d’une tranchée ininterrompue, souligne ce continuum spatial.

Martin Krautter :
Le projet a-t-il fait l’objet d’un appel d’offres ?

Gunter Fleitz :
Non, nous avons été mandatés directement. Nous avions déjà réalisé plusieurs projets à Schorndorf, en dernier lieu un cabinet de radiologie et une maison de retraite médicalisée. Lors de l’inauguration, nous avons rencontré le maire. Pour transformer l’hôtel de ville, il voulait quelqu’un d’extérieur, qui porte sur l’ensemble un regard neuf. Point essentiel : le maire, le conseiller municipal en charge de la construction et le responsable du service BTP savaient tous ce qui les attendait et poursuivaient le même objectif.

Martin Krautter :
Quels étaient les souhaits des maîtres d’ouvrage ?

Gunter Fleitz :
Les exigences d’ordre fonctionnel n’ont pas beaucoup changé. Nous avons des besoins différents et complexes, mais nous ne voulions pas d’une salle polyvalente, qui peut un peu tout et un peu rien. Il s’agis-sait d’aménager une entrée digne du lieu et de créer la transparence, jusque dans la salle de réunions. Pour les séances non publiques, il fallait pouvoir instaurer la discré-tion nécessaire. Nous avons présenté un concept visuel relativement tôt, qui modifiait considérablement le caractère de l’ensemble. Ce concept nous a permis de susciter l’enthousiasme des maîtres d’ouvrage et de leur faire comprendre jusqu’où le voyage pouvait nous mener.

Entretien sur les études déclairage avec des LED
Entretien sur les études déclairage avec des LED

Rendez-vous sur place, à l’hôtel de ville en transformation de Schorndorf, près de Stuttgart. L’éclairage LED résiste-t-il aussi aux regards critiques ? Les concepteurs sont unanimes : oui, l’expérience apportée par ce projet montre que l’éclairage architectural 100 % LED est une vision réaliste. Les participants à cet entretien, de droite à gauche : Gunter Fleitz (Ippolito Fleitz Group), Martin Krautter (rédac-teur en chef du Lichtbericht d’ERCO), Stefan Hofmann (Lichtwerke, Cologne), Hendrik Schumacher (ERCO Leuchten GmbH).

Dans certains cas, l’utilisation de LED tombait sous le sens.

Martin Krautter :
Nous voici au cœur du sujet ! La transparence est toujours étroitement liée à l’éclairage. Comment le concepteur lumière, Stefan Hofmann, est-il intervenu ?

Gunter Fleitz :
Nous avions déjà collaboré à un projet de restaurant. Et nous avons vivement conseillé au maître d’ouvrage de faire appel à un concepteur lumière. Notre idée de base pour l’architecture intérieure incluait des premières pistes d’éclairage, que nous avons approfondies ensemble. Nous utilisons beaucoup les logiciels de conception en 3D et avions donc très tôt des visualisations de l’espace. De ce fait, quand nous nous sommes attaqués au concept lumière avec Stefan Hofmann, toutes les perspectives étaient encore ouvertes.

Martin Krautter :
Stefan Hofmann, quelle a été votre première impression ?

Stefan Hofmann :
Du projet, je savais : comment les architectes travaillent, ce qui est important pour eux, quelle est leur approche. La lumière ne peut jamais être meilleure que l’architecture, dans le meilleur des cas elle revient à rehausser une architecture de qualité. Pour nous, concepteurs lumière, c’est évidemment un apport précieux quand l’architecte nous expose sa philosophie, nous explique la fonction de chaque espace, les déplacements d’un espace à l’autre.

Gunter Fleitz :
Nous avions une vision très claire de ce que nous voulions. Dès lors, nous avons pu travailler ensemble à sa réalisation.

Martin Krautter :
A quel moment le mot « LED » a-t-il été prononcé pour la première fois ?

Stefan Hofmann :
Lorsque nous avons conçu les luminaires suspendus en forme d’anneau, très sculpturaux, pour le foyer. Seul l’emploi de LED permettait de les réaliser.

Gunter Fleitz :
Le recours aux LED est très vite devenu évident pour ce point. Mais pas pour l’ensemble du concept d’éclairage, pas tout de suite. Puis le sujet a été évoqué avec le maître d’ouvrage. Il s’est montré ouvert, et Stefan Hofmann a étudié la question plus en détail.

Stefan Hofmann :
Dans certains cas, l’utilisation de LED tombait sous le sens, par exemple pour l’éclairage vertical, surtout pour la mise en lumière des rideaux. Puis une autre question s’est posée : comment aborder l’ensemble de l’éclairage ? Misons-nous sur les lampes traditionnelles ou sur la technique LED moderne ? Nous avons une architecture ouverte et transparente, l’éclairage doit-il aussi se tourner vers l’avenir ? Nous avons donc analysé les coûts d’énergie et de maintenance pour deux concepts d’éclairage : l'un traditionnel avec des lampes à halogénures métalliques et plus ponctuellement, des lampes halogènes gradables, l’autre avec des LED.

Martin Krautter :
Vous avez vraiment fait ces calculs ?

Stefan Hofmann :
Oui, et nous les avons rapprochés des coûts d’achat. En 2010, l’éclairage LED était environ un tiers plus cher que l’éclairage traditionnel. C’est ce que nous avons expliqué, l’architecte et moi, au maire. Nous lui avons dit explicitement : il faudra patienter quelques années avant que les surcoûts cessent, mais vous aurez un bâtiment qui combine responsabilité et progrès. La décision en faveur des LED pour tout le projet est tombée rapidement.

Martin Krautter :
Aviez-vous le sentiment, durant les études, de devoir faire des compromis en termes de qualité à cause des LED ?

Gunter Fleitz :
Non, mais je dois avouer n’avoir jamais bien vu la lumière de nuit. Deux aspects m’ont enthousiasmé : le rendu des couleurs et la couleur de lumière, partout très agréable.

Stefan Hofmann :
Les LED, comme les lampes halogènes basse tension, sont des sources lumineuses ponctuelles. Elles s’intègrent très bien aux systèmes optiques, et j’obtiens une lumière saisissante et brillante là où c’est nécessaire. On voit notamment sous la salle des célébrations à quel point cela fonctionne avec l’éclairage LED.

Entretien sur les études déclairage avec des LED
Entretien sur les études déclairage avec des LED

Le bureau Ippolito Fleitz a beaucoup recouru aux logiciels de conception en 3D dès les prémices du projet. D’où des concepts visuels forts qui ont enthousiasmé les maîtres d‘ouvrage (en haut). La qualité des architectes se reconnaît quand la concrétisation du projet, le passage à la réalité ne perd rien de sa fascination.

Martin Krautter :
Qu’en est-il du confort visuel ou de l’éblouissement des appareils d’éclairage avec les LED ?

Stefan Hofmann :
Jusqu’à présent une seule lampe de la taille d’un doigt fournissait une quantité de lumens très élevée. Pour obtenir le même flux lumineux, j’ai besoin de plusieurs diodes électroluminescentes. Seule une technique de lentille sophistiquée, comme celle que propose ERCO, permet d’obtenir le résultat souhaité. Pour ce projet, nous avons simulé des scénarios très différents avec des projecteurs à LED. Par exemple, peut-on projeter une lumière ponctuelle précise sur un seul espace d’une table de travail depuis une hauteur de 10 m ? Et le résultat montre que, oui, ça fonctionne. La protection anti-éblouissement est assurée selon une toute autre technique, mais elle existe. Dans certains cas, nous n’avons pas pu recourir à la technique LED, tout simplement parce que les appareils pour cela n’en sont pas encore équipés, pour les appareils pour l’éclairage du plafond par exemple ou les Uplights encastrés au sol.

Martin Krautter :
Mais sur quoi repose la décision de faire appel à un fournisseur, à une marque précise comme ERCO ?

Gunter Fleitz :
Quand nous avons commencé, nous étions ouverts à toutes les possibilités, sachant toutefois que, pour beaucoup de situations, Stefan Hofmann nous a recommandé vos produits, qui convenaient à la perfection. Vu la multitude des situations d’éclairage particulières, il est naturellement difficile de faire appel à un seul et unique fournisseur.

Stefan Hofmann :
C’était relativement simple. Mis à part quelques particularités décoratives et fonctionnelles, le gros de l’éclairage consiste dans la source lumineuse ponctuelle au plafond. En tant que concepteur lumière, je recommande un fabricant qui propose une famille de produits, un éventail complet. Chez ERCO, il existe à chaque fois, pour un même concept, des Downlights, des projecteurs et des encastrés orientables à LED, exactement les trois types d’appareils dont nous avions besoin. Avec des diamètres et un design identiques.

Martin Krautter :
Vous vous êtes donc attachés aux aspects à la fois techniques et conceptuels. Etait-ce aussi une question de service client ?

Stefan Hofmann :
C’était d’abord une question d’offre de produits. Pour la salle de réunions, il nous fallait des encastrés orientables à LED avec un angle de rayonnement étroit, de 10°. Cela réduit tout de suite le marché. ERCO arrivait en tête, et le reste a suivi. Et heureusement ERCO a modifié récemment la couleur de lumière, passant d’un blanc chaud à un blanc réellement chaud.

Martin Krautter :
Autrement dit, les LED utilisées pour ce projet présentent une température de couleur de 3 000 K ?

Gunter Fleitz :
Oui, cela facilite l’acceptation. Selon moi, notre langage architectural n’a rien de sobre, nous avons des tissus colorés, voire très foncés, il y a de la pierre de taille. Pourtant, ce langage formel inhabituel, la modernité de cette architecture de verre sont allégés par la lumière chaude, on se sent bien, tout simplement.

Hendrik Schumacher :
Les propriétés de rendu des couleurs sont aussi excellentes. L’échelle de couleurs aux tons beige et marron est bien exploitée avec cette température de couleur.

Entretien sur les études déclairage avec des LED
Entretien sur les études déclairage avec des LED

Martin Krautter :
L’hôtel de ville n’a pas encore officiellement rouvert, à quelle phase en sommes-nous ?

Gunter Fleitz :
Les bureaux à l’étage sont en cours d’aménagement. Dès lundi, tout le monde pourra reprendre le travail en mairie, mais pas encore au rez-de-chaussée. L’inauguration est pour le 8 octobre.

Martin Krautter :
Stefan Hofmann, vous avez déjà observé l’éclairage de nuit – qu’en pensez-vous ?

Stefan Hofmann :
L’effet produit correspond exactement à ce que nous avions en tête. La lumière plane des Downlights est saisissante et brillante, mais aussi très homogène sur la surface ciblée. Il en va de même pour la lumière orientée. Le passage de l’éclairage traditionnel aux LED est réussi, ça fonctionne. C’était là un projet intéressant pour accumuler de nouvelles expériences. Pour les projets à venir, nous saurons quelles puissances, quelles répartitions et quels systèmes utiliser.

Hendrik Schumacher :
Les LED vous sont plus familières ?

Stefan Hofmann :
Oui, et on imagine ce que pourrait être la prochaine étape. Pour ce projet, nous avons demandé des appareils spéciaux, équipés avec des LED de 3 000 K et 4 000 K. Cela nous permet, selon les besoins, de produire une lumière chaude ou de compléter l’éclairage naturel par une lumière d’un blanc neutre. C’est ce que nous aimerions pouvoir faire avec les Downlights et les appareils à faisceau mural, pouvoir passer d’une couleur de lumière à une autre. Il faudrait aussi un encastré orientable dont la couleur de lumière de 3 000 K devient nettement plus chaude si on la grade, ce serait idéal par exemple pour les restaurants.



Gunter Fleitz :
Ce qui manque d’après moi, ce sont les nuances. Cela dit, quand récemment nous avons fait le tour du chantier avec le maire et le conseiller municipal en charge de la construction, on sentait une certaine nervosité face à ce qui restait à terminer, mais un commentaire revenait : « La lumière est super, sensationnelle, si tout était comme ça... »

Martin Krautter :
C’est toujours agréable à entendre !

Gunter Fleitz :
Tout n’était pas encore tout à fait en place, mais c’est vrai, cet éclat était déjà perceptible.

Stefan Hofmann :
Cela n’est possible qu’avec une bonne architecture. Quand on se fait confiance, que l’on s’écoute, la collaboration en est d’autant plus fructueuse.

Gunter Fleitz :
Heureusement aussi, les délais n’étaient pas trop serrés. Un point délicat concernait l’assemblage à sec du plafond acoustique. Les appareils d’éclairage et les anneaux d’encastrement sous crépi devaient absolument être livrés à temps. Mais tout a fonctionné à merveille. Et aussi le point portant sur les répartitions de la lumière. Comme Stefan le disait : « A dire vrai, je me l’imaginais un peu plus doux »...

Stefan Hofmann :
A certains endroits, là où la hauteur sous plafond était nettement moindre à cause de la solive, les 10° ne suffisaient vraiment pas. Mais nous avons pu essayer et adopter les lentilles interchangeables, de Spot à Wide flood en passant par Flood.

Entretien sur les études déclairage avec des LED

Martin Krautter :
Les lentilles Spherolit rendent en effet les LED plus flexibles que les lampes traditionnelles. Est-ce que ça répond aux souhaits du concepteur ?

Stefan Hofmann :
L’expérience était intéressante : un mercredi, j’ai appelé chez ERCO, le jeudi à 10 h j’avais les lentilles, le vendredi je suis allé à Schorndorf où je les ai testées. Ce service client est exemplaire.

Martin Krautter :
Stefan Hofmann, avez-vous des remarques sur les informations produits, la documentation relative aux produits à LED ?

Stefan Hofmann :
Des normes claires sur les données techniques et les valeurs mesurées seraient utiles aux concepteurs et aux fabricants. Chez ERCO, je sais que les indications comme le flux lumineux ou la luminance sur la surface cible sont réalistes. Mais il faudra attendre encore quelques années avant que tout cela soit normalisé. Si vous permettez, j’aimerais aussi évoquer un autre aspect : l’énorme pression sur les prix due à un marché en mutation, avec des fournisseurs complètement nouveaux. Tous les maîtres d’ouvrage ne sont pas disposés à dépenser un tiers en plus pour les LED.

Hendrik Schumacher :
Chacun connaît ça. Les nouvelles technologies sont chères au départ, puis avec le temps elles deviennent plus abordables. Ce sont des attentes qui valent aussi pour la technique LED, et avec lesquelles, en tant que fournisseurs, nous devons compter.

Stefan Hofmann :
Les systèmes d’éclairage traditionnels seront probablement bientôt remplacés par les systèmes LED, mais l’organisation de ce nouveau marché est complètement différente. Puis se pose la question du prix et de l’éventail de produits. Bien sûr, on aimerait avoir un Downlight à LED simple et bon marché, mais avec la qualité ERCO.

Martin Krautter :
Ces préoccupations sont aussi au centre de notre réflexion. Notre secteur connaît actuellement un vrai bouleversement. Diriez-vous, oui, pour moi la LED s’est imposée comme source lumineuse en conception lumière et je suis convaincu que c’est la voie du futur, si d’autres lampes sont supprimées ou interdites ?

Gunter Fleitz :
Ce que j’ai vu jusqu’à présent à Schorndorf est très prometteur et prouve que nous pourront opter sans hésitation pour les LED dans des projets futurs. Ce projet atteint un seuil de qualité inédit.

Stefan Hofmann :
Cette expérience me rend aussi très confiant. Un encastré orientable à LED émet un faisceau trop étroit ? Et bien il suffit de changer la lentille, sans avoir à remplacer l’appareil. Cette flexibilité rassure. Sur ce point, mon impression est plutôt positive.

Martin Krautter :
Une architecture 100 % LED, c’est donc une vision réaliste pour vous ?

Stefan Hofmann :
Oui, tout à fait.

Gunter Fleitz :
Le projet est pionnier en ce sens.

Martin Krautter :
Merci beaucoup pour cet entretien et pour ce mot de la fin !

Lichtbericht 95, Novembre 2012

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