myERCO

myERCO

Avec votre compte myERCO gratuit vous pouvez mémoriser des articles, créer des listes produits pour vos projets et demander des offres. De plus, vous avez un accès permanent à tous les médias ERCO dans l'espace de téléchargement.

S'identifier

Vous avez ajouté des articles à votre liste de favoris

Environnement technique

Environnement technique

Norme internationale 220V-240V/50Hz-60Hz
Standard USA/Canada 120 V/60 Hz, 277 V/60 Hz
  • 中文

Nous vous présentons nos contenus en langue française. Les données sur les produits correspondent à un environnement technique de 220V-240V/50Hz-60Hz.

Plus de convivialité pour vous

ERCO souhaite vous offrir le meilleur service qui soit. C’est pourquoi ce site Internet enregistre des cookies. En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation de cookies. Pour plus d’informations, veuillez lire notre déclaration relative à la protection des données. Si vous cliquez sur « Ne pas accepter », des cookies essentiels continueront tout de même d'être enregistrés. Certains contenus de sites externes ne pourront plus être affichés.

{{ tu_banner_headline }}

tu_banner_copy

William M. C. Lam (1924-2012), l’un des plus fervents partisans des études d’éclairage axées sur la qualité, élabore dans les années 70 un catalogue de critères, au sens d’un vocabulaire systématique pour la description contextuelle des impératifs relatifs à une installation d’éclairage. Il distingue deux grands groupes de critères : les activity needs, c’est-à-dire les exigences qui naissent de l’interaction active avec un environnement visuel, et les biological needs, qui dans tout contexte correspondent aux exigences psychologiques associées à l’environnement visuel.

Activity needs

William Lam

Les activity needs décrivent les exigences qui naissent de l’interaction active avec un environnement visuel. Celles-ci dépendent avant tout des propriétés des impératifs visuels en présence. L’analyse des activity needs recoupe largement les critères de l’éclairage quantitatif et les objectifs des études d’éclairage sont également en grande partie identiques dans les deux domaines. On recherche un éclairage fonctionnel, qui crée les conditions optimales pour chaque activité - qu’il s’agisse de travail, de déplacement dans l’espace ou de loisirs. Contrairement aux tenants des études d’éclairage quantitatives, Lam s’oppose pourtant à un éclairage général déterminé par l’impératif visuel le plus exigeant. Il privilégie plutôt l’analyse différenciée de l’ensemble des exigences visuelles en présence en termes de lieu, de type et de fréquence.

Biological needs

William Lam

Lam considère le deuxième ensemble de son système, celui des biological needs, comme le plus important. Les biological needs correspondent, dans tout contexte, aux exigences psychologiques associées à l’environnement visuel. Alors que les activity needs résultent d’une interaction consciente avec l’environnement et visent une certaine fonctionnalité dans cet environnement visuel, les biological needs se rapportent à des besoins largement inconscients, décisifs pour l’évaluation émotionnelle d’une situation. Ils visent le bien-être dans un environnement visuel donné. Pour les définir, Lam part du constat que notre attention ne s’attache à un impératif visuel unique que dans les moments de grande concentration. Elle s’étend au contraire presque toujours à l’observation d’un environnement dans sa globalité. Les changements qui surviennent dans cet environnement sont ainsi perçus immédiatement : le comportement peut s’y adapter sans délai. L’évaluation émotionnelle d’un environnement visuel dépend notamment beaucoup de la capacité de celui-ci à présenter clairement les informations requises ou à les dissimuler.

Parmi les exigences psychologiques fondamentales associées à un environnement visuel, Lam évoque en premier lieu le besoin d’orientation non équivoque. Orientation se comprend ici d’abord au sens spatial. Il s’agit alors d’identifier les objectifs à atteindre et les chemins qui y mènent, dans une situation spatiale présentant entrées, sorties et autres offres spécifiques à l’environnement donné, que ce soit un hall d’immeuble ou un département de grand magasin. L’orientation comprend cependant aussi des informations sur d’autres aspects de l’environnement, comme l’heure, la météo ou les événements qui surviennent. Si ces informations manquent, par exemple dans les espaces clos des magasins ou dans les couloirs des grands bâtiments, l’environnement est perçu comme artificiel et étouffant. Ce n’est qu’en quittant les lieux qu’on peut combler le déficit d’information ressenti.

Un deuxième groupe d’exigences psychologiques concerne la vision globale et la compréhension des structures environnantes. L’essentiel est ici la visibilité de l’ensemble des espaces. Elle détermine le sentiment de sécurité qui ressort d’un environnement visuel. Les espaces sombres, comme les souterrains ou les couloirs des grands immeubles, dissimulent les dangers potentiels, tout comme les pièces suréclairées et aveuglantes. L’appréhension d’ensemble ne vise pas seulement une visibilité complète, mais également la structuration de l’espace, le besoin d’un environnement univoque et ordonné. Sont ressenties positivement les situations dans lesquelles formes et structure de l’architecture sont claires, mais aussi où les domaines visuels essentiels se détachent nettement de l’arrière-plan. Au lieu d’un flux d’informations confuses voire contradictoires, l’espace se présente ainsi comme un ensemble visuellement compréhensible de caractéristiques bien ordonnées. La présence d’une perspective panoramique ou de points attirant le regard, par exemple d’(oe)uvres d’art, est également déterminante pour notre détente.

Un troisième domaine d’exigences concerne l’équilibre entre notre besoin de communication et la nécessité de jouir d’une sphère privée bien délimitée. Les deux extrêmes, isolement complet et entière accessibilité aux regards, sont ressentis négativement ; une pièce doit permettre le contact avec autrui, tout en ménageant des espaces privés. Pour cela, on peut par exemple recourir à un îlot de lumière, qui isole un groupe de sièges ou une table de conférence au sein d’un espace plus vaste.

Vous aimeriez en savoir plus ?

Autres thèmes relatifs à la conception lumière

Vous avez besoin d'informations supplémentaires ?

Vous pouvez contacter votre interlocuteur régional en utilisant les coordonnées suivantes :

Vous pouvez également nous écrire un e-mail ou poser directement votre question ici

Vos données seront traitées de manière strictement confidentielle. Vous trouverez d'autres informations sur Protection des données : les engagements d'ERCO.

Produits

Projets

Téléchargements

Conception de lumière

Sur ERCO

Contact

Inspiration